En 1949, Michel Dupas jouait à La Rochelle pour les Américians. L’enregistrement du documentaire s’est déroulé chez lui. ph. « SO »
En 1949, Michel Dupas jouait à La Rochelle pour les Américains. Un film documentaire est en préparation par les productions Anekdota (Didier Roten) sur la « Présence des Américains dans le Sud-Ouest de la France pendant la Guerre froide 1950–1967 ». Cette présence était concentrée dans notre région, au camp de Croix-Chapeau. Un appel à témoins avait été lancé en septembre 2016, dans le cadre des Journées du patrimoine.
Nuits rochelaises musicales
Michel Dupas avait répondu à cet appel à témoins et, ce mercredi, un film se tournait à son domicile. Au piano, il va égrener les mélodies qu’il jouait en 1949, il avait 18 ans, à la Doulce France, rue Verdière, ouvert tous les soirs jusqu’à 2 heures du matin, où se mêlaient des clients rochelais, dont Michel Dupas se souvient très précisément.
Il jouait également tous les mercredis après-midi, dans un bar réservé à l’armée américaine qui se situait rue Chef-de-Ville face au théâtre et était payé en dollars d’occupation à la caserne Aufredi – ces dollars changés en francs ensuite chez un buraliste situé au pied de la Grosse-Horloge.
Soixante-six ans après, c’est l’ambiance du piano-bar, sa spécialité, que Michel Dupas va faire revivre dans ce film-documentaire.
La mairie détient des objets trouvés. Les personnes susceptibles d’avoir perdu quelque chose peuvent se présenter en mairie pour le récupérer.
« La marche est le meilleur remède pour l’homme ». Cette phrase, supposément prononcée par Hippocrate il y a deux mille ans s’applique encore plus de nos jours.
Lau’Rando, association saint-laurentaise affiliée à la Fédération française de randonnée pédestre, avait instauré (pour répondre à des demandes d’aller un peu moins vite et un peu moins longtemps dans leurs sorties hebdomadaires de 8 km, 11 km, 12 km) des sorties simplement intitulées « Sans se presser ». Les participants se retrouvaient le vendredi pour une marche d’environ 4 kilomètres.
« Rando-santé »
Le club propose désormais cette formule sous le label « Rando-Santé ». Selon la FFRP, elle s’adresse à tous et en particulier aux personnes dont les conditions physiques ont diminué mais qui n’ont pas besoin d’équipements particuliers pour marcher : cela comprend ceux qui débutent dans la randonnée, ceux qui testent ainsi leurs possibilités, ceux qui reprennent la marche après une interruption, les convalescents, ceux qui ont plus de 80 ans, etc.
Il y a quelques années, Lau’Rando avait entrepris l’inventaire des chemins ruraux de Saint-Laurent afin de proposer d’autres itinéraires. Aujourd’hui, quatre circuits figurent sur le nouveau plan interactif de Saint-Laurent. Ils seront balisés le semestre prochain, les services techniques de la commune ont mis en place les bornes nécessaires que l’équipe de Lau’Rando va peindre.
Lau’Rando organise aussi des randonnées ouvertes aux non-adhérents : forte participation pour marcher avec le Téléthon. En mars une rando de soutien à l’ARC et en mai pour la Belle-Rando, événement en partenariat avec Décathlon, etc.
Enfin, grâce au soutien logistique des communes de Saint-Laurent et de Fouras et à la participation de nombreux bénévoles, Lau’Rando organise, chaque 10 août, la Randonnée de la Saint-Laurent : un rendez-vous très apprécié dont le succès donne au club une autonomie financière.
Michel Dupas.